Depuis 2003, l'UNESCO encourage les États membres à présenter des candidatures afin d'établir une liste de ces traditions locales qui sont menacées de dégradation ou de disparition.
« C'est peut-être une goutte dans l'océan, mais nous avançons à petits pas. Les pays réalisent que leur patrimoine est important pour l'ensemble de l'humanité », déclare Cécile Duvelle, responsable de la Section du patrimoine immatériel de l'UNESCO et souligne que « c'est une plate-forme identitaire, et non pas touristique ».
Aujourd’hui le Sega rejoint le classement et devient le 34 eme à être approuvés par le Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel.